mardi 5 avril 2011

On ne vit qu'une fois

Il y a mieux que cette expression, car
je ne suis pas certain qu'on la vive,
cette fameuse fois qui est la seule fois.

j'ai l'impression qu'il faut vivre cette
rencontre d'aujourd'hui, celle-ci,  avec
le sentiment qu'elle ne se renouvellera
pas.  Les gens n'aiment pas qu'on leur
dise adieu quand on les quitte, et
pourtant je pense qu'on est proche de
la réalité, de ce qui est vraiment, en
pensant que c'est la dernière rencontre.

Le danger, c'est d'être là sans y être,
comme si ça allait de soi qu'il y aura
de nouveau un tel moment. Le danger
est bien réel, de penser qu'il y aura
une autre occasion, un autre moment.

Voilà pourquoi l'intuition est plus
importante que la planification.
l'intuition permet d'entendre ce qui est
immédiat, et qui va s'éloigner.

les agendas ont trop de pages.

dimanche 6 mars 2011

Je ne sais pas ce que je cherche

Il y a cent ans, il y avait plein de monde qui habitaient Place Royale et le Petit Champlain. Les historiens peuvent remonter à la fondation de Québec, on repousse d'un autre trois cent ans cette habitation du quartier...  Je suis porté à commencer à cette date d'il y a cent ans, parce qu'on a les photos prises en 1911, semble-t-il.  Et on peut facilement trouver qui habitait chacune des maisons, cette année-là, et les années suivantes.

Une autre piste possible, parmi sans doute plein d'autres chemins, c'est celle des commerces.  Il y avait des barbiers, des cordonniers, des épiciers, des couturières, des aubergistes, etc.  On peut suivre l'évolution des commerces, au cours des ans.

Il y a eu les deux écoles du quartier, rue Sous le Fort.  Plus d'une centaine d'élèves au primaire...

Un thème possible:  un passé de petits entrepreneurs, qui ont leurs ateliers.

Les deux guerres mondiales, et ce qu'elles ont changé.  Les mouvements de population.  la grande migration vers les banlieues, (avec une auto, une cour derrière la maison, un potager possible.)

Puis la période RDP, le rêve du Petit-Champlain, et la suite avec la coop.   Trente-cinq années.

Mais je ne sais pas encore le point de vue, le sens de tout cela. je laisse les portes ouvertes.